1.7 Au service de toutes les réussites

Dans un monde ouvert et en mutation, chacun doit pouvoir construire son propre parcours d’éducation et de formation pour s’accomplir et s’épanouir tout au long de sa vie. Le CNED s’est donné pour mission de garantir à chacun, quelle que soit sa situation, les moyens de sa réussite scolaire et professionnelle. Et comme ce sont les inscrits qui en parlent le mieux, nous leur laissons la parole pour nous raconter leur changement de vie !

Nicolas

« Je termine actuellement ma formation de scénariste à l’école des métiers du cinéma et de l’audiovisuel, des arts numériques, du journalisme multimédia et du spectacle vivant, et je serai diplômé en tant que scénariste après avoir validé mes trois années d’études par un stage de quatre mois. Je voulais absolument faire ce stage à l’étranger, et quand l’opportunité s’est présentée d’aller en Chine, j’ai sauté sur l’occasion. Mais pas de panique, j’avais commencé à travailler mon chinois-mandarin avec le CNED, il y a maintenant trois ans ! La majorité des lycées ne proposait pas cette langue, même en option, mais quand j’ai commencé mon école de cinéma, j’avais plus de temps pour apprendre cette langue. Il y a des semaines où j’ai plus d’obligations, comme des tournages par exemple, et d’autres où je suis plus libre. Je travaille donc en conséquence, mais toujours au moins deux à trois heures par semaine. Chaque année depuis trois ans, je monte d’un niveau et continue de progresser. Je ne parle pas encore couramment la langue, étant donné les différences considérables entre le français et le chinois, mais mes professeurs sont contents de moi et, dixit ma correctrice de chinois au CNED, j’ai une lecture très claire et pédagogique. »

Saskia

« J’ai travaillé plus de 20 ans comme secrétaire de direction dans une carrosserie fabriquant des dépanneuses, mais après le rachat de l’entreprise, l’ambiance n’était plus la même et je n’y voyais plus d’avenir, plus moyen d’y progresser, et j’y allais de plus en plus à reculons. Un jour, j’ai décidé de faire un bilan de compétences et, immédiatement, je me suis orientée vers ce qui avait toujours été mon rêve : la petite enfance. Il fallait donc trouver les moyens de réaliser ce nouveau projet et faire une formation courte, sans laisser tomber du jour au lendemain l’entreprise qui me permettait de gagner ma vie. Le CNED répondait à ces critères : préparer l’examen à mon rythme et à un coût abordable. Les 12 semaines de stage ont confirmé mon choix de travailler avec les enfants ! Il m’a fallu peu de temps pour me sentir de nouveau bien dans ma peau, chose indispensable pour mon nouveau travail, et tout s’est enchaîné très vite. Avant même d’avoir passé les examens, j’ai eu des propositions pour travailler dans l’école maternelle où je faisais mon stage, dans le cadre d’un remplacement dans une crèche, puis finalement, j’ai accepté un CDI à temps complet comme auxiliaire parentale et ma vie a changé. Bien que le CAP Petite enfance ne soit pas obligatoire pour être auxiliaire parentale (nounou au domicile des parents), j’ai préféré mettre toutes les chances de mon côté et rassurer les parents. Après toutes ces années où mon travail au bureau était devenu une contrainte, j’ai encore du mal à considérer ce nouveau métier comme un travail ; j’adore ce que je fais, ce n’est que du bonheur ! »

Héloîse

« Après un bac sciences et techniques des laboratoires, option biotechnologies, j’ai entamé un BTS Bio-analyses et contrôles, avant de comprendre que mon avenir ne se trouvait pas dans un laboratoire. Comme la plupart de mes amis, je me suis alors inscrite en licence, filière Administration économique et sociale, sans plus de succès. C’est à ce moment-là que j’ai découvert qu’il existait un BTS Diététique et que je pouvais y prétendre. Étant persuadée d’avoir trouvé ma voie, j’ai regardé les alternatives pour étudier et je suis tombée sur le site du CNED, où tout est très bien expliqué. J’ai rempli un formulaire pour recevoir un document détaillant le déroulement du BTS à distance. Au début, je voyais ça comme une utopie : ça a l’air génial, mais je n’y arriverai jamais, puis j’ai lu des témoignages d’étudiantes ayant eu leur diplôme avec le CNED, et je me suis dit : pourquoi pas moi ? Après tout, c’est mon rêve, alors je me suis inscrite. Je suis officiellement diététicienne‑nutritionniste depuis octobre 2020 et, dans les années à venir, j’aimerais m’installer pour exercer en libéral. »

Sonia

« Après avoir obtenu un master et commencé une thèse, j’ai finalement opté pour l’enseignement en passant le Capes d’anglais. Après plusieurs années en poste, j’ai décidé de me présenter au concours externe de l’agrégation d’anglais. Se replonger dans les études après plusieurs années dans le bain professionnel peut sembler compliqué, mais grâce au CNED, j’ai pu travailler chez moi, à mon propre rythme. Le résultat est là puisque j’ai été reçue au concours ! De plus, les attestations de formation délivrées par le CNED m’ont permis de percevoir des indemnités pendant ce congé personnel de formation. »

Élise

« Après des études en sciences politiques et en infographie, j’ai débuté en tant que correspondante de presse. Suite à cette expérience, j’ai décroché un poste d’assistante de communication dans une association et j’ai fini par intégrer de grandes entreprises en tant que chargée de communication. Mais après plus de dix ans dans ce secteur, j’avais l’impression de tourner en rond et, avec deux très jeunes enfants, cela ne correspondait plus à mes aspirations. Le métier d’écrivain public m’est alors apparu comme une évidence. C’est un métier atypique et assez mal connu, solitaire et plus difficile qu’on ne le croit ! Avant de créer ma propre activité, j’ai donc choisi de suivre une formation spécialisée dans ce métier. Avec ma situation familiale, impossible pour moi de suivre une formation en présentiel. Le CNED proposait une formation d’écrivain public qui avait l’air complète, accessible financièrement et bien reconnue d’après les témoignages. Mon choix a été vite fait. C’était la première fois que je testais cette formule de formation à distance. J’ai organisé mon emploi du temps de manière à pouvoir atteindre mes deux objectifs professionnels : réussir ma formation et la création de mon entreprise. Le plus important, d’abord, c’est la motivation et l’envie ! Après, il faut s’imposer un rythme. À distance, il n’y a personne pour nous botter les fesses quand on a une baisse de régime ! Par ailleurs, pour l’avoir testée deux fois, j’ai noté que l’équipe de formation était très disponible. J’ai eu des réponses à mes questions vraiment très rapidement par le biais des mails. Ça aussi, c’est un bon point. J’ai beaucoup apprécié le premier devoir, qui consistait à effectuer une étude de marché très poussée. C’est une étape très importante du projet. C’est grâce à cela qu’on prend connaissance des difficultés, mais aussi de ses propres lacunes… Cela aide à avancer, à faire les bons choix. La suite de la formation était plus classique, avec la réalisation d’écrits. Mais c’est toujours un bon moyen de savoir ce que l’on vaut et cela rassure. Les éléments théoriques qui nous sont fournis sont bien écrits, de bon conseil, avec des références vraiment utiles (ouvrages, mais aussi sites web). Aujourd’hui, je veux vraiment devenir écrivain public à temps plein ! Je bosse à fond pour ça. J’ai un site Internet, une page Facebook, je suis présente sur les réseaux sociaux professionnels, je suis inscrite sur beaucoup d’annuaires en ligne. Je fais aussi du démarchage « en live » près de chez moi. J’ai déjà décroché une petite dizaine de contrats : de la rédaction web, une biographie, un discours, de la correction, etc. C’est encourageant ! À l’avenir, j’aimerais aussi proposer des ateliers d’écriture, avoir mon propre local, mais aussi réaliser mon propre livre... C’est agréable de se dire que toutes les portes sont ouvertes et que l’envie est là. »